Sur Le Ruines Et Les Cendres De Sion
Seigneur Voland
Israël s'était placé pour dominer les peuples
mais l'impie se souleva contre le bacille de passage
devenant celui à qui l'on crache au visage
Vous tous, sbires de l'idole du vide, recommencez
et venez donc pleurer sur les ruines de Sion
Je ne trouverai pas un sage parmi vous
Vos jours sont passés, vos projets sont anéantis
Les désirs de votre cœur...une infecte tumeur
qui prétend que la nuit est le jour,
Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là
N'est-ce pas le Schéol que vous espériez tant
pour demeure ?
C'est dans les ténèbres que Magog dressera votre couche
Et je crierai au gouffre : c'est toi leur Père !
Et à la vermine : vous êtes leurs sœurs et leur mère
Votre espérance : où donc est-elle ?
Votre espérance , qui peut encore l'apercevoir ?
Jéhova ? Mais ce dieu est le père que l'Aryen abat
Il descendra vers les barreaux du séjour des morts
Quand vous irez ensemble reposer dans la poussière.