Cessate, Omai Cessate
Antonio Vivaldi
Cesse, Ô cesse
Ah, ô malheureux toujours
Dorilla, ingrate, me veut
Ah, toujours plus impitoyable
Elle me serre à pleurer
Pour moi, il n'y a pas de répit
Pour moi, il n'y a pas d'espoir
Et le cruel tourment et mes peines
Seule la mort peut consoler