Aganjú
Bebel Gilberto
Aganjú
Je t'ai attendu que la lune grandisse
J'ai pris une bonne chaise, je me suis assis
J'ai éternué sur ta grippe
À rester à l'abandon, j'ai pris froid
Tu m'as plu, tu m'as touché
Tu m'as mis à terre, tu m'as réchauffé
Tu m'as déchiré les vêtements et ça valait le coup
Et tu as juré des conversations divines
Aganjú
Aganjú
Aganjú
Aganjú
Aganjú
Aganjú
Qui sait quand le labeur sera réglé
Sait le travail que ça demande
Batailler pour le pain et ramener
Pour la maison, la survie
J'ai trouvé dans la rue la question
Cent pour cent le manque de terre
Je vais prier pour ne jamais perdre
Cette structure qui es-tu
Aganjú
Aganjú
Aganjú
Aganjú
Aganjú
Aganjú