La Quemona
Daddy Yankee
La Brûlante
Dans la matinée, le pauvre homme s'en va travailler
Et commence à frapper à la porte de derrière
Elle sort bien apprêtée pour lui ouvrir la porte
Lui disant : Oh mon amour, tu es presque en retard
Entre, continue, repose-toi un moment
Parce qu'aujourd'hui, on va s'éclater jusqu'à 16h00
Monsieur entre, s'allonge et se détend
Et elle lui apporte le petit déjeuner au lit
Lui disant : Mon chéri, je te veux pour moi
Et le salaud de ton mari ?
Qu'il crève cet imbécile
Ils allument le stéréo et ça claque au rythme de la musique
Et elle, très sensuelle, commence à faire un strip-tease
Remuant ce derrière avec beaucoup de sensation
Lui disant : Papi, enlève-moi la culotte
Le maléfique, excité, va et lui mord la taille
Et elle lui dit : C'est à toi quand tu veux
Alors : Prends, touche, tire, suce
Parce que c'est à toi, papi, pour que tu en profites
Après avoir chauffé, l'action commence
Et là-bas, le soutien-gorge et la culotte volent
Et elle lui dit : Oh que c'est bon, mon amour
C'est pour ça que j'ai mon mari comme un con
Vas-y, mon chéri, ne t'arrête pas
Donne-lui comme un chien, mon mari va arriver
Alors : Vas-y, mon chéri, ne t'arrête pas
Donne-lui comme un chien, mon mari va arriver
Donne, donne, donne, donne, papi, donne
Donne, donne, papi, donne, donne, donne, donne, papi, donne
Donne, donne, ah
Mets-le, papi, mets-le
Mets-le, papi
Ah ! Ah !
Mets-le, papi, mets-le
Mets-le, papi
Ah ! Ah !
Le gars la prend de devant en arrière
Et elle lui dit : Ne t'arrête pas
Continue, mon chéri, parce que c'est ça la vie
Donne-moi comme une bête, donne-moi fort sans mesure
Ne t'arrête pas, mon chéri, parce que c'est béni
Et si ton mari arrive ?
Eh bien, je le fous dehors, ce maudit
Le type s'acharne et lui donne comme à une jument
Et elle, bien en colère, lui dit : Papi, ouais !
Que c'est bon, que c'est bien, et savoureux, c'est ça
C'est ça la vie que je mérite vraiment
Il est 16h00 et il n'arrive pas
Et il s'en va
Et elle lui dit : Demain, tu te lèveras tôt
Ici, je t'attendrai en babydoll et en lingerie
Pour que tu me dévorent comme une bête, papi
Pour qu'on fasse des choses nouvelles, qui n'ont pas été inventées
Et que tu me donnes si fort, comme un violon prêté
Après s'être dit au revoir, elle commence à cuisiner
Et elle fait les tâches comme si elle était un éclair
À 18h00, tout est prêt
Et elle attend son mari pour l'accueillir avec des baisers
Le pauvre arrive, très fatigué et éreinté
Et elle lui demande : Oh ma vie, tu es fatigué ?
Attends, mon chéri, je t'apporte un jus de mûre
Et le mari se dit : Cette femme m'adore vraiment
Et pendant qu'elle va à la cuisine, elle grogne, disant
Ce maudit, je vais le tuer
Je le déteste, je le hais et je veux qu'il meure
Pour que mon autre homme me dévore quand il veut
Oh, si c'était mon chéri qui était ici
Je serais sûrement la femme la plus heureuse
Elle lui sert le repas
Et lui en apporte trop
Et dans sa tête, elle se dit : Si tu ne m'as pas tuée comme un os
Oh, demain, que mon amant vienne et qu'il me fasse
Et qu'il me donne tant jusqu'à ce que je sois privée
Et c'est ça
Vas-y, mon chéri, ne t'arrête pas
Donne-lui comme un chien, mon mari va arriver
Alors : Vas-y, mon chéri, ne t'arrête pas
Donne-lui comme un chien, mon mari va arriver
Donne, donne, donne, donne, papi, donne
Donne, donne, papi, donne, donne, donne, donne, papi, donne
Donne, donne, ah !
Mets-le, papi, mets-le
Mets-le, papi
Ah ! Ah !
Mets-le, papi, mets-le
Mets-le, papi
Ah ! Ah !
Il commence à manger et le fait très vite
Et en regardant sa femme, il lui dit combien il l'aime
Je ne peux pas imaginer la vie sans toi à mes côtés
Je te remercie parce que tu m'as toujours aimé
Je me fiche de ce que disent
Ce que pensent les autres
Je sais juste que tu vas m'aimer pour toute l'éternité
Et elle le regarde très sensuellement et passionnément
Et elle se moque de lui avec un grand éclat de rire
Et lui disant dans sa tête : Chéri, idiot, salaud, imbécile
Le seul que j'aime vraiment, c'est mon amant
Alors : Chéri, idiot, salaud, imbécile
Le seul que j'aime vraiment, c'est mon amant
Il est 23h00 et ils vont se coucher
Et quand ils sont déjà au lit
Il commence à la caresser
Il la touche ici, il la touche là
Et elle, bien ennuyée, lui dit : Laisse-moi tranquille
Parce que je suis très fatiguée
Avec les tâches de la maison
S'il te plaît, ne me dérange pas
Parce qu'aujourd'hui, je n'ai pas envie
Et le mari s'installe dans son lit, pensif
Pourquoi cette femme ne veut-elle pas me donner ce qui est à moi ?
A-t-elle un autre ?
Se demande le mari
Mais je ne le crois pas
Parce que cette femme me satisfait, elle m'aime, elle m'adore
De tout son cœur
Parce que l'homme de sa vie, pour elle, c'est moi
Elle ne prête pas ses caresses
Et dans ses bras, elle l'apprend
Et dans sa tête, elle lui dit : Ce salaud ne se doute de rien
Que je le brûle par ici
Que je le brûle par là
Comme il ne sait rien, je vais toujours le brûler
Que je le brûle par ici
Que je le brûle par là
Comme il ne sait rien, je vais toujours le brûler
Et c'est ce que disait mon grand-père avant de mourir
La femme qui est brûlante sera toujours à l'écart
Quand elle veut donner
Elle fait en sorte que le fin soit une machette
Et elle ne plie pas le lit, ni le matelas, ni le drap
Quand il s'agit de brûler
Elle le donne à n'importe qui
Que ce soit dans la forêt, que ce soit dans l'eau
Elle le donne où elle veut
Et même si le monde ne le croit pas
Dans la photo, une épingle et ça
Vas-y, mon chéri, ne t'arrête pas
Donne-lui comme un chien, mon mari va arriver
Alors : Vas-y, mon chéri, ne t'arrête pas
Donne-lui comme un chien, mon mari va arriver
Donne, donne, donne, donne, papi, donne
Donne, donne, papi, donne, donne, donne, donne, papi, donne
Donne, donne, ah !
Mets-le, papi, mets-le
Mets-le, papi
Ah ! Ah !
Mets-le, papi, mets-le
Mets-le, papi
Ah ! Ah !
Et c'est ce que disaient, ainsi criaient les brûlantes
Quand elles brûlaient leur mari, et c'était ça.