Wir Lagen Vor Madagaskar
Freddy Quinn
Nous étions devant Madagascar
Nous étions devant Madagascar
Et on avait la peste à bord
Dans les chaudières, l'eau pourrissait
Et chaque jour, un tombait à la mer
Ahoi, camarades
Ahoi, ahoi !
Adieu, petite fille
Adieu, adieu !
Oui, quand le piano du marin résonne à bord
Alors les marins deviennent si silencieux
Car chacun aspire à sa terre natale
Qu'il aimerait tant revoir un jour
Nous étions là depuis quatorze jours
Pas un souffle de vent dans nos voiles
La soif était le plus grand fléau
Puis on a tous échoué sur un récif
Ahoi, camarades
Ahoi, ahoi !
Adieu, petite fille
Adieu, adieu !
Oui, quand le piano du marin résonne à bord
Alors les marins deviennent si silencieux
Car chacun aspire à sa terre natale
Qu'il aimerait tant revoir un jour
Nous étions devant Madagascar
Et on avait la peste à bord
Dans les chaudières, l'eau pourrissait
Et chaque jour, un tombait à la mer
Ahoi, camarades
Ahoi, ahoi !
Adieu, petite fille
Adieu, adieu !
Oui, quand le piano du marin résonne à bord
Alors les marins deviennent si silencieux
Car chacun aspire à sa terre natale
Qu'il aimerait tant revoir un jour