Shiawasette Iu Kaibutsu
Frederic
Le Monstre du Bonheur
J'en veux plus, ça suffit, calme-toi, dehors, bois du thé, là-bas
Ensuite, dans la ville, on dansera, on ira pêcher des poissons rouges
Dans ton cœur, ici et là, je chante
Je fais rouler mes pensées, je chante
Dans le pays de la liberté, qui est-ce que tu as amené ?
Si j'entends la voix du cœur
Si je bave en écoutant
Je te regarderai, je te protégerai
Je te briserai, je te ferai éclater
Que ce soit un pacifiste
Ou un criminel
Les larmes que la tristesse exprime
Ont le même goût
Ce n'est pas une question de sexe
Ce n'est pas une question de nationalité
Dans le trou de ton nombril
Le monstre du bonheur est coincé
Dans ton cœur, ici et là, je chante
Je fais rouler mes pensées, je chante
Dans le pays de la liberté, qui est-ce que tu as amené ?
Quand j'étais enfant, je ressentais
J'écoutais la voix de la terre
Aimer quelqu'un, c'est
Quelque chose que même les animaux font
La joie qu'on doit aimer
Et la tristesse qu'on doit haïr
Si l'espoir et la peur
Ne changent pas beaucoup
Que pourrions-nous faire demain ?
Le ciel bleu que j'observe
Le monstre du bonheur aussi
Regarde avec le même regard
La tête n'est pas unique
La tête n'est pas unique
Que pourrions-nous faire demain ?
Que pourrions-nous faire demain ?
Que pourrions-nous faire demain ?
La tête n'est pas unique
Que pourrions-nous faire demain ?
Que pourrions-nous faire demain ?
Que pourrions-nous faire demain ?
La tête n'est pas unique
La tête n'est pas unique
Le cœur n'est pas unique