Vola Vola Vola
Gigliola Cinquetti
Vole Vole Vole
Vole vole. J'aimerais revenir juste pour une heure,
le temps beau de la joie. Vole vole ;
quand on s'amusait à "vole vole"
et que tu me couvrais de baisers et de caresses.
Et vole vole vole et vole le paon,
s'il a le bon cœur, alors fais-moi le prouver.
Vole vole. Une fois pour éteindre le mouchoir,
je suis condamné à t'embrasser. Vole vole ;
tu es devenue rouge et tu m'as dit,
de m'agenouiller d'abord et de t'enlacer.
Et vole vole vole et vole les poules :
même si tu me regardes, j'ai l'impression de rêver.
Vole vole. Comme les rivières naissent au printemps,
l'amour naît de la tendresse. Vole vole ;
Marie, oui, tu m'aimes comme hier,
ne me retire pas ce rêve et cet espoir.
Et vole vole vole et vole le chardonneret,
un baiser à picorer, tu ne peux pas me le refuser.