Ved Stanford Brua
Harald Foss
À la passerelle de Stanford
Höyrer Harald Sigurdsson, les signes de rêve de
Brodir Olav Matkhugen, tu dois les cacher maintenant, c'est pas bon
Ne l'écoute pas, Höyr, ne fais pas attention à Toste Jarl, là où il
Encourage à partir pour l'Angleterre, Tord avait un rêve étrange
Et les rêves sont souvent mal interprétés
Au printemps de 1066, une expédition fut préparée
Un roi avide de pouvoir en Norvège régnait, et le leidang ordonnait
Dans le pays. Cent quatre-vingt-quinze navires
Vers le comte des Orcades ils naviguèrent vers l'ouest, et les fils de Torfinn Jarl
Liraient une centaine de drakkars de plus
Quand ils arrivèrent à la ville de Jordvik, alors le premier combat
Éclata. Le comte Muru-Kåre tomba et le comte Valtjov
S'enfuit. Harald et Toste avancèrent, mais Valtjov
Jarl leur jura, les chevaliers de la table du roi
Vous rencontrerez à la passerelle de Stanford
Harald et Toste, le lendemain, sans armure, marchèrent
Alors que loin là-bas, le soleil brillait sur de nombreux casques et armures
Le roi d'Angleterre, c'est sûr, je reconnais le Thingmannalid
Ses vêtements, l'armée norvégienne est perdue, ils s'arrêtèrent à
La passerelle de Stanford
Ils convinrent de rassembler tout le monde
Pendant que Styrkår se précipitait vers les navires aussi vite qu'il
Pouvait. Mais pour gagner du temps, ils demandèrent
À Tjodolv le fort de stopper les hommes du roi
Là-bas sur la passerelle de Stanford
Et longtemps Tjodolv résista contre
Le roi anglo-saxon, mais par derrière avec des lances ils piquèrent
Ainsi ils furent submergés. Quand le deuxième combat éclata
Pendant qu'Öystein et Styrkår et tous les hommes des navires
Couraient pour arriver à temps à la passerelle de Stanford
Harald avançait pour le groupe et frappait de tous côtés
Quand une flèche grise comme un oie fut la perte du roi norvégien.
Quand Öystein et Styrkår arrivèrent, tous en armure
Épuisés, ils couraient à peine, se battaient
Sur le sol près de la passerelle de Stanford
Quand le troisième combat commença, appelé Orreira et la chute des hommes
Fut grande, mais les Norvégiens durent fuir. Ainsi il en fut que
Les hommes de Vilhjalm du royaume de France gagnèrent en puissance et
Le Norrönalltingretten tomba là près de la passerelle de Stanford.