熱異常 (Heat Abnormal)
Iyowa
Anomalie de Chaleur
« Reprenant avec des variables mortes
La chaleur engendrée par des comptes
Sans but, sans destination
J'écris des lamentations désolées
Comme un éclair qui se confond
La peur se mêle à mes veines
Derrière la fumée épaisse
Une faux noire me suit
Effacer, encore et encore
Effacer, encore et encore
Effacer, encore et encore
Effacer, encore et encore
Ça ne disparaît pas
Ma gorge déjà écrasée
Le cri ne forme plus de rangs
Sur le fauteuil
Un croissant pourri rit
Déjà
Tout près, tout près
Tout près, tout près
Tout près, tout près
Tout près, tout près
Quelque chose arrive
Après avoir pleuré à tue-tête
Des gens mettent le feu au drapeau de la délivrance
Embrassant la collection
Des squelettes se résignant dans leur cercueil
Encore
C'est fou, c'est fou
C'est fou, c'est fou
C'est fou, c'est fou
C'est fou, c'est fou
Ils chuchotent
Si seulement il y avait un idéal
Un paradis où tout le monde serait sauvé
Les adultes, en chœur, ont dit
Le bateau dans lequel ils sont montés a explosé
Les étoiles noires, les étoiles noires
Les étoiles noires, les étoiles noires
Les étoiles noires, les étoiles noires
Les étoiles noires, les étoiles noires
Les regardent
La lumière qui pleure me transperce
La cloche des adieux sonne
L'histoire façonnée par Dieu
A un goût de sable dans ses réponses
Reprenant avec des variables mortes
La chaleur engendrée par des comptes
Je questionne une étoile
De la couleur des yeux d'un autre
La lumière qui pleure me transperce
La cloche des adieux sonne
L'histoire façonnée par Dieu
A un goût de sable dans ses réponses
Reprenant avec des variables mortes
La chaleur engendrée par des comptes
Je questionne une étoile
De la couleur des yeux d'un autre
Reprenant avec des variables mortes
La chaleur engendrée par des comptes
Sans but, sans destination
J'écris des lamentations désolées
Reprenant avec des variables mortes
La chaleur engendrée par des comptes
Sans but, sans destination
J'écris des lamentations désolées
Si nous pouvions nous tenir la main
Et nous aimer
Tuer enfin ce rêve inachevé
Le débris de la pensée
Au centre, une anomalie de chaleur se produit
Ce n'est pas la réalité
C'est pas vrai
Ce n'est pas la réalité
C'est pas vrai
Ce n'est pas la réalité
C'est pas vrai
Ce n'est pas la réalité
C'est pas vrai
Je ne peux plus le supporter
Ma gorge déjà écrasée
Le cri ne forme plus de rangs
Sur le fauteuil
Un croissant pourri rit
Déjà
Tout près, tout près
Tout près, tout près
Tout près, tout près
Tout près, tout près
Quelque chose arrive »