La Quemona
Mishelle Master Boys
La Quemona
Dans la matinée, le pauvre homme s'en va travailler
Et commence à frapper, frapper à la porte de derrière
Et elle sort, bien apprêtée, pour lui ouvrir la porte
Lui disant, mon chéri
Oh mon amour, tu n'arrives presque pas
Entre, continue, repose-toi un moment
Parce qu'aujourd'hui, on va s'éclater jusqu'à 4 heures
Il entre, se couche et se détend
Et elle lui apporte le petit déjeuner au lit
Mon chéri, je te veux pour moi
Et le salaud de ton mari
Qu'il crève, cet malheureux
On allume le stéréo et le son des talons résonne
Et elle, très sensuelle, commence à faire un strip-tease
Remuant ce derrière avec beaucoup de sensation
Lui disant, mon chéri
Vas-y, enlève-moi la culotte
Le malheureux, excité, va et lui mord la taille
Et elle lui dit
C'est à toi quand tu veux
Alors
Prends, touche, tire, suce
Parce que c'est à toi, mon chéri, pour que tu en profites
Après avoir chauffé, l'action commence
Et là-bas, le soutien-gorge et la culotte volaient
Et elle lui disait
Oh que c'est bon, mon amour
C'est pour ça que j'ai mon mari comme un imbécile
Vas-y, mon chéri, ne t'arrête pas
Vas-y comme un chien, mon mari va arriver
Alors
Vas-y, mon chéri, ne t'arrête pas
Vas-y comme un chien, mon mari va arriver
Vas-y, vas-y, vas-y, vas-y, mon chéri, vas-y
Vas-y, vas-y, mon chéri, vas-y, vas-y, vas-y, vas-y, mon chéri, vas-y
Vas-y, vas-y, ah
Mets-le, mon chéri, mets-le
Mets-le, mon chéri
Ah, ah
Mets-le, mon chéri, mets-le
Mets-le, mon chéri
Ah, ah
Le gars la prenait de devant en arrière
Et elle lui disait
Ne t'arrête pas
Continue, mon chéri, parce que c'est ça la vie
Donne-moi comme un animal, donne-moi sans mesure
Ne t'arrête pas, mon chéri, parce que c'est béni
Et si ton mari arrive
Eh bien, je le fous dehors, le maudit
Le type s'est acharné et lui donnait comme à une mule
Et elle, bien en colère, lui disait
Mon chéri, hourra
Que c'est bon, que c'est bien, et savoureux, c'est ça
C'est ça la vie que je mérite vraiment
Il est 16 heures et il n'arrive pas
Et il s'en va
Et elle lui dit
Demain, tu te lèveras tôt
Ici, je t'attendrai en babydoll et en culottes
Pour que tu me dévorent comme une bête
Pour qu'on fasse des choses nouvelles, qui n'ont pas été inventées
Et que tu me donnes si fort, comme un violon prêté
Après s'être dit au revoir, elle commence à cuisiner
Et elle fait les tâches comme si elle était un éclair
À 18 heures, tout était prêt
Et attendant son mari pour l'accueillir avec des baisers
Le pauvre arrive, très épuisé et affolé
Et elle lui demande
Oh, ma vie, es-tu fatigué ?
Attends, mon chéri, je te ramène un jus de mûre
Et le mari se dit, cette femme m'adore vraiment
Et pendant qu'elle va à la cuisine, elle grogne, disant
Ce maudit, je vais le tuer
Je le déteste, je le hais et je veux qu'il meure
Pour que mon autre homme me dévore quand il veut
Oh, si c'était mon amant qui était ici
Je serais sûrement la femme la plus heureuse
Elle lui sert le repas
Et lui en apporte trop
Et dans sa tête, elle se dit
Si tu ne manges pas comme un os
Oh, demain, que mon amant vienne et qu'il me fasse
Et qu'il me donne tant jusqu'à ce que je sois privée
Et c'est ça
Vas-y, mon chéri, ne t'arrête pas
Vas-y comme un chien, mon mari va arriver
Alors
Vas-y, mon chéri, ne t'arrête pas
Vas-y comme un chien, mon mari va arriver
Vas-y, vas-y, vas-y, vas-y, mon chéri, vas-y
Vas-y, vas-y, mon chéri, vas-y, vas-y, vas-y, vas-y, mon chéri, vas-y
Vas-y, vas-y, ah
Mets-le, mon chéri, mets-le
Mets-le, mon chéri
Ah, ah
Mets-le, mon chéri, mets-le
Mets-le, mon chéri
Ah, ah
Il commence à manger et le fait très vite
Et en regardant sa femme, il lui dit combien je t'aime
Je ne peux pas imaginer la vie sans toi à mes côtés
Je veux te remercier parce que tu m'as toujours aimé
Je me fiche de ce que disent
Ce que pensent les autres
Je sais juste que tu vas m'aimer pour toute l'éternité
Et elle le regarde, très sensuelle et passionnée
Et elle se moque de lui avec un grand éclat de rire
Et lui disant dans sa tête
Chéri, imbécile, salaud, idiot
Le seul que j'aime vraiment, c'est mon amant
Alors
Chéri, imbécile, salaud, idiot
Le seul que j'aime vraiment, c'est mon amant
Il est 23 heures et ils vont se coucher
Et quand ils sont déjà au lit
Il commence à la caresser
Il la touche ici, il la touche là
Et elle, bien ennuyée, lui dit
Laisse-moi tranquille
Je suis très fatiguée
Avec les tâches de la maison
S'il te plaît, ne me dérange pas
Parce qu'aujourd'hui, je n'ai pas envie
Et le mari s'installe dans son lit, pensif
Pourquoi cette femme ne veut-elle pas me donner ce qui est à moi ?
A-t-elle un autre ?
Se demande le mari
Mais je ne le crois pas
Parce que cette femme me satisfait, elle m'aime, elle m'adore
De tout son cœur
Parce que l'homme de sa vie, pour elle, c'est moi
Elle ne prête pas ses caresses
Et dans ses bras, elle l'apprend
Et dans sa tête, elle lui dit
Cet imbécile ne soupçonne rien
Que je le brûle par ici
Que je le brûle par là
Comme il ne sait rien, je vais toujours le brûler
Que je le brûle par ici
Que je le brûle par là
Comme il ne sait rien, je vais toujours le brûler