La 701
Panter Bélico
La 701
Vraiment, comme Joaquín me manque
Et même s'il n'est pas là, son héritage reste fort
Les enfants, je n'ai pas pu dire au revoir
Mais d'ici, je vous envoie un câlin
Je ne l'ai pas vu venir, mais me voilà
Et maintenant, où est-ce que je vais
Mais la vie est comme ça, je vous fais dire
Faites attention à vous
Badiraguato, la montagne où j'ai grandi
Dans son ranch, La Tuna
Des chemins entre les sentiers, il avait ses grottes
Faites à sa taille
Puente Grande était l'endroit
Comment oublier cette fameuse évasion
Et plusieurs années auparavant, pour vouloir le tuer
Ils ont emmené un prêtre
Quand le vieux faisait la fête
La 701 toujours bien accrochée
Un bon rythme pour danser
Il avait un bon pas avec une blonde
Pas mal de sécurité partout
Détendu et sûr de lui
Sous le commandement de Cholo Iván
Puro ex-militaire, plus blindé qu'un mur
Joyeux et amoureux, à travers plusieurs ranchs
Il a laissé plusieurs graines
Le plus grand est Archivaldo, avec son frère
Et ceux de Jesús María
Un ou deux autres là-bas sans mentionner
Mais ils font aussi partie de la famille
Edgar va s'en occuper
Je prierai pour lui et un câlin jusqu'en haut
Des amitiés de grande envergure et pour les guerres
Très peu m'ont rejoint
Des compadres partout
Mais, en mon absence, un a changé de camp
Un agent fédéral a suffi
Pour être ici enfermé
Pour ne pas vouloir arranger les choses, mon Cholo Iván
Tu aurais dû le fusiller
Avec ça, je dis au revoir à mes amis
À mon ranch et à ma mère
Jouez de beaux corridos, ceux des vieux
Comme celui du M Grande