Tefutefu
Plastic Tree
Tefutefu
Je rêve encore, dans l'obscurité profonde,
Comme si j'abandonnais, l'ombre de toi s'est évanouie.
Loin, la lune moqueuse rit,
Je ne me souviens même plus du sort pour m'en échapper.
Dans le silence, des larmes m'attendent,
Éparpillées dans ce temps doux qui se brise.
Tourne, tourne, traçant une spirale,
Je continue de me perdre, poursuivant le bruit des vagues.
Serré, serré, comme un balancement grinçant,
Je n'ai fait que haïr cette tristesse.
Je sème des graines noires, quelle fleur va éclore ?
Faisant semblant de ne pas savoir, ma voix ment.
S'il te plaît, prends mon cœur,
Jusqu'à ce que je me réveille, tissant un sommeil transparent.
Si je ne peux ni perdre ni revenir,
Alors enferme-moi au fond de ce lien enchevêtré.
Tourne, tourne, la mer Morte se déforme,
C'est parce que je poursuis uniquement des choses invisibles.
Tombant, tombant, sur la surface troublée,
Une pétale est tombée.
Tourne, tourne, traçant une spirale,
Je continue de me perdre, poursuivant le bruit des vagues.
Serré, serré, comme un balancement grinçant,
Je n'ai fait que haïr cette tristesse.
Tourne, tourne, la mer Morte se déforme,
C'est parce que je poursuis uniquement des choses invisibles.
Tombant, tombant, sur la surface troublée,
Une pétale est tombée.
Tourne, tourne, traçant une spirale,
Je continue de me perdre, poursuivant le bruit des vagues.
Serré, serré, comme un balancement grinçant,
Je n'ai fait que haïr cette tristesse.
Je n'ai fait que haïr.