Sora To Utsuro (Vanitas No Carte)

Simplement, en gros, tes pensées
J'espère qu'un jour, tu comprendras
Peu importe combien de fois, en morceaux, en patchwork
Je vis sans même savoir ce que ça veut dire

Juste nous deux, pas besoin d'en parler
J'ai l'impression qu'on peut se comprendre, mais
C'est déjà pas mal, non ?

Ce monde que j'adore, c'est ta lumière qui l'apporte
Les mots fissurés touchent ce monde
Tout semble briller, tu vois
Il n'y a rien de certain, mais
Tu peux me voir, non ?

Trois fois sur quatre, l'angoisse me ronge, mes pensées
Une à une, les mensonges s'accumulent
Je m'amuse avec cette mécanique simple
Mon esprit rouillé vacille
Le murmure rit de toi, qui te reflète

Je veux juste qu'on continue à rire sans savoir
Laisse de côté les réponses, pense comme tu veux, c'est déjà pas mal, non ?

Ce monde que j'adore, tout y est en jeu
Si la chanson des machines résonne
Tout semble pouvoir nous faire rire
Il n'y a pas de passé dont être fier, mais
La voix qui s'enflamme est belle, non ?

Quand le ciel et le vide se croisent, les rêves sont encore loin
Quand le ciel et le vide se croisent, tu es encore au départ
Quand le ciel et le vide se croisent, naître et mourir sans cesse
On détruit mensonges et futurs en riant

Ce monde que j'adore, c'est ta lumière qui l'apporte
Les mots fissurés touchent ce monde
Tout semble briller, tu vois
Il n'y a rien de certain, mais
Tu peux me voir, non ?