María Landó
Susana Baca
María Landó
La madrugada éclate comme une statue
Comme une statue aux ailes qui se dispersent dans la ville
Et le midi chante une cloche d'eau
Cloche d'eau dorée qui nous interdit la solitude
Et la nuit lève sa coupe longue
Sa longue coupe longue, lune précoce au-dessus de la mer
Mais pour María, il n'y a pas de madrugada
Mais pour María, il n'y a pas de midi
Mais pour María, aucune lune
Lève sa coupe rouge sur les eaux
María n'a pas le temps (María Landó)
De lever les yeux
María de lever les yeux (María Landó)
Brisés de sommeil
María brisés de sommeil (María Landó)
De tant souffrir
María de tant souffrir (María Landó)
Elle ne fait que travailler
María ne fait que travailler, ne fait que travailler, ne fait que travailler
María ne fait que travailler
Et son travail est étranger
Mais pour María, il n'y a pas de madrugada
Mais pour María, il n'y a pas de midi
Mais pour María, aucune lune
Lève sa coupe rouge sur les eaux
María n'a pas le temps (María Landó)
De lever les yeux
María de lever les yeux (María Landó)
Brisés de sommeil
María brisés de sommeil (María Landó)
De tant souffrir
María de tant souffrir (María Landó)
Elle ne fait que travailler
María ne fait que travailler, ne fait que travailler, ne fait que travailler
María ne fait que travailler
Et son travail est étranger
María Landó, María Landó, María Landó
María Landó ne fait que travailler
María Landó ne fait que travailler
María Landó
Ne fait que travailler
María Landó
Ne fait que travailler et son travail est étranger