Stella Stai
Umberto Tozzi
Stella Reste
Reste stella, reste sur moi, cette nuit comme si
c'était elle, c'était Dieu, c'était ce que j'étais
Polaroid stella, douce brise de foulard jamais vue, jamais vue
que tu me souffles encore, que tu me souffles en bleu.
Reste stella, reste comme elle, moins femme et un peu gay
qui sait, après tout, tu es ma stella, stella reste
corps en forme de S, doux pied sur mon accélérateur, quand
je vais, quand je reste,
pour te souffler encore, pour te souffler en bleu.
Oui oui oui oui oui oui.
Reste stella, reste tant qu'il y a dans ses yeux un S.O.S.
qui me donne des frissons comme quand tu es au soleil,
et tu la veux et tu te veux et tu ne dormirais jamais,
stella reste, stella toi,
pour te souffler encore, eh eh
pour te souffler en bleu, reste, reste, reste, reste, reste.
Colorant le ciel du sud
qui sort, c'est toi, c'est toi,
colorant un enfant, on peut
lui donner tes yeux sinon, sinon,
que vais-je faire à cette porte,
je veux te garder dans mes
bras, sinon je retourne vers elle, tu sais,
pour ça stella, reste.
Glisse, glisse, glisse, glisse, glisse,
glisse, glisse, glisse, glisse, glisse,
Eh salut Canada, tu t'en vas à vélo, tu ne sais pas
me donner autre chose que des ennuis mais j'ai besoin aussi de toi
stella reste sur moi, cette nuit sur moi.
stella reste, stella toi
pour te souffler encore, eh eh
pour te souffler en bleu,
Oui oui oui oui oui oui oui.
Reste stella, reste tant qu'il y a dans ses yeux un S.O.S.
qui me donne des frissons comme quand tu es au soleil,
et tu la veux et tu te veux et tu ne dormirais jamais,
stella reste, stella toi,
pour te souffler encore, eh eh
pour te souffler en bleu, reste, reste, reste, reste, reste.
Colorant le ciel du sud
qui sort, c'est toi, c'est toi,
colorant un enfant, on peut
lui donner tes yeux sinon, sinon,
que vais-je faire à cette porte,
je veux te garder dans mes
bras, sinon je retourne vers elle, tu sais,
pour ça stella, reste.
Glisse, glisse, glisse, glisse, glisse,
glisse, glisse, glisse, glisse, glisse,
Pour te souffler encore, reste, reste, reste ...
Pour te souffler encore, reste, reste, reste ...