Cheng Du
Zhao Lei
Cheng Du
Laisse-moi pleurer sans retenue, ce putain de devoir
Laisse-moi savourer sans regret ta douceur
Sur la route, il faut encore marcher, tu tiens ma main
Laisse-moi ressentir cette lutte pour la liberté
Les séparations sont toujours en septembre, souvenirs de chagrin
La brise douce de l'automne caresse mon front
Dans cette petite ville où je n'oublierai jamais toi
Chengdu, tu es la seule qui reste
Et moi, on marche dans les rues de Chengdu, un pas après l'autre
Jusqu'à ce que toutes les lumières s'éteignent, ça ne s'arrête pas
Tu seras là, je te tiendrai, je ferai en sorte que tu restes
On ira au bout de la rue de Yulin, assis à l'entrée d'un petit bar
Les séparations sont toujours en septembre, souvenirs de chagrin
La brise douce de l'automne caresse mon front
Dans cette petite ville où je n'oublierai jamais toi
Chengdu, tu es la seule qui reste
Et moi, on marche dans les rues de Chengdu, un pas après l'autre
Jusqu'à ce que toutes les lumières s'éteignent, ça ne s'arrête pas
Tu seras là, je te tiendrai, je ferai en sorte que tu restes
On ira au bout de la rue de Yulin, assis à l'entrée d'un petit bar
Et moi, on marche dans les rues de Chengdu, un pas après l'autre
Jusqu'à ce que toutes les lumières s'éteignent, ça ne s'arrête pas
Et moi, on marche dans les rues de Chengdu, un pas après l'autre
Jusqu'à ce que toutes les lumières s'éteignent, ça ne s'arrête pas
Tu seras là, je te tiendrai, je ferai en sorte que tu restes
On ira au bout de la rue de Yulin, assis à l'entrée d'un petit bar.